En 1966, la nationalisation de l'industrie cinématographique estompa le dynamisme du cinéma qui se traduit par une baisse apparente de la production avec des sujets évoquant les maux sociaux tels que ; la corruption, le vol, la pauvreté.. et des sujets politiques faisant éloges au régime socialiste de l'époque.
Le début des années 80 a connu, l'apparition d'une nouvelle vague de jeunes acteurs tel :
Adel Imam, Ahmed Zaki, Mahmoud Abelaziz, Nour Chérif, Mahmoud Yassine, Souad Hosni, Nabila Abid, Nadia El joundi, Yousra, Leila Eloui, Ilham Chahine, et des des jeunes réalisateurs tel : Atef Tayeb, Raafat Mehimi, Kheiri Bichara, Mohamed Khan..Tous ces noms ont pu créer une nouvelle version réaliste du cinéma égyptien qu'on appelait "la génération du pragmatisme" mais la levée de la mainmise de l'état sur l'industrie cinématographique et son ouverture au privé a provoqué l'apparition, de "films des entrepreneurs", qui connait une vraie montée en quantité et de qualité médiocre ; cette production visait à des rentrée rapides d'argent puisque les films étaient vendus aux pays du golf.
C'est à partir des année 90 que le cinéma égyptien retrouve son épanouissement avec le déclin de la production de films bon marché et c'est en 1997 que le film Ismailia aller-retour avec le chanteur Mohamed Fouad et le jeune acteur Mohamed Henidi connait un succès sans précédent ouvrant les portes vers d'autres comédies et à d'autres acteurs tel : Mohamed Saad, Ahmed Hilmi.
A partir de 2003,et après des années de "dégringolade", le cinéma commence à présenter des œuvres de meilleure qualité et une hausse considérable de la production ainsi le film Imarat Yakoubian (L'immeuble Yakoubian) connait un réel succès artistique et populaire.
Aujourdhui, le cinéma égyptien ne cesse d'introduire de jeunes talents prometteurs d'un avenir glorieux et continue à dominer le cinéma arabe car il définit une identité cuturelle et linguistique pour tout le monde arabophone.
Le début des années 80 a connu, l'apparition d'une nouvelle vague de jeunes acteurs tel :
Adel Imam, Ahmed Zaki, Mahmoud Abelaziz, Nour Chérif, Mahmoud Yassine, Souad Hosni, Nabila Abid, Nadia El joundi, Yousra, Leila Eloui, Ilham Chahine, et des des jeunes réalisateurs tel : Atef Tayeb, Raafat Mehimi, Kheiri Bichara, Mohamed Khan..Tous ces noms ont pu créer une nouvelle version réaliste du cinéma égyptien qu'on appelait "la génération du pragmatisme" mais la levée de la mainmise de l'état sur l'industrie cinématographique et son ouverture au privé a provoqué l'apparition, de "films des entrepreneurs", qui connait une vraie montée en quantité et de qualité médiocre ; cette production visait à des rentrée rapides d'argent puisque les films étaient vendus aux pays du golf.
C'est à partir des année 90 que le cinéma égyptien retrouve son épanouissement avec le déclin de la production de films bon marché et c'est en 1997 que le film Ismailia aller-retour avec le chanteur Mohamed Fouad et le jeune acteur Mohamed Henidi connait un succès sans précédent ouvrant les portes vers d'autres comédies et à d'autres acteurs tel : Mohamed Saad, Ahmed Hilmi.
A partir de 2003,et après des années de "dégringolade", le cinéma commence à présenter des œuvres de meilleure qualité et une hausse considérable de la production ainsi le film Imarat Yakoubian (L'immeuble Yakoubian) connait un réel succès artistique et populaire.
Aujourdhui, le cinéma égyptien ne cesse d'introduire de jeunes talents prometteurs d'un avenir glorieux et continue à dominer le cinéma arabe car il définit une identité cuturelle et linguistique pour tout le monde arabophone.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire